4o ans après, l'hibernation sexuelle.
samedi 31 mai 2008
mercredi 28 mai 2008
Le passage à vide de Goliath
Je pensais mettre plutôt "la passade à vide de Goliath", le jeu de mot est plus précis, mais la phrase peut-être moins sensée, en même temps, ce sont de drôles de phrases, donc...
ça me prend un temps pfouuuuuuu
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lundi 26 mai 2008
dimanche 25 mai 2008
Test avec soleil
Bon, les tests se précisent, maintenant il va falloir réfléchir à l'argumentation qui pourrait accompagner un boulot de portraits en sténopé.
J'ai plusieurs axes, si, si, j'ai réfléchi.
Y a le fait que cette technique, qui applati la perspective et ne présente pas les déformations qu'on peut subir avec la lentille d'un appareil photo, était plutôt utilisée pour prendre en photo l'architecture de bâtiment.
Et pas vraiment pour capter une expression, ou un mouvement, vu le temps de pose normalement long que nécessite un cliché. Quoiqu'avec un grand soleil, on le raccourcit facilement à 10 secondes.
Qu'y a t'il d'intéressant dans l'exercice du portrait avec un sténopé?c'est que c'est le modèle qui est vraiment maître de sa photo, en décidant de ne pas bouger, ou de s'ajouter quelques paires de bras.
Il y a la présence du hasard qui importe beaucoup, et puis le fait que chaque appareil soit unique. Moi, c'est une boîte à gâteaux métallique, intérieur bombé en noir, avec, comme seul objectif, un carré de carton fin poncé et percé d'un tout petit trou. Un trou plus grand que si j'avais pris de l'allu, comme c'est souvent conseillé, mais un objectif en allu s'abîme vite, et dés que l'objectif est à changer, il faut refaire trois mille essais pour connaitre son appareil.
Donc, la patte de celui qui prend la photo se voit dans le fait que la photo est réussi. Une photo à la chambre noire artisanale ne se fait pas en un simple clic, elle se fait avec dix autres précedentes.
Bon, tout cela est à formuler mieux que ça, mais ça me semble suffisant pour essayer d'en faire un travail de diplôme, même si ça n'est pas vraiment de l'illustration.
Bon, on se rassure comme on peut.
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samedi 24 mai 2008
test de sténopé, on y va doucement
Je me remets doucement aux sténopés, j'aimerai bien faire un livre de portraits. Bon, premiers tests, avec un ciel trés nuageux, ça donne des temps de pose vraiment trop long.
J'attends le soleil avec impatience, ouai, ouai, ouai!
vendredi 23 mai 2008
Bilan
Première étape passée.
Il m'ont repproché des bandes dessinées potaches, ils ont à peine lu... putain, le seul truc qu'ils ont aimé, c'est ce carnet que j'ai commencé ce week end, avec des jeux de mots qui m'attiraient des heures de colle, quand les profs en trouvaient dans les marges de mes cahiers, au collège. Putain, si c'est pas potache.
J'déteste ce mot, jcrois qu'il me suivra toute ma vie...
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jeudi 22 mai 2008
mercredi 21 mai 2008
lundi 19 mai 2008
dimanche 18 mai 2008
samedi 17 mai 2008
Roman photo, le début est ici
A rendre pour le cours de photo, mélange de sténopés et de photos numériques faits sans buts précis.
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vendredi 16 mai 2008
mardi 13 mai 2008
lundi 12 mai 2008
Un long weekend de travail
Aprés Cinq jours de pentecôte à bosser, t'as presque plus besoin d'aller voir REC, suffit d'un bon miroir.
FINIIIIIIIIITO
Et voilà, c'est fini. J'ai plus qu'à régler quelques colorimétries, corriger deux fautes d'accent, CMJN et zou, impression demain, histoire de tester, et si c'est bon, zou, jbalance tout au Crous.
j'ai compté pour ce truc: plus d'une trentaine d'heures. J'avais qu'à m'y prendre avant, aussi, j'aurai pu profiter du soleil.
Bon, ce soir, gravure sur bois et demain, retour à la vie normale, finies les nuits entre 6h et 13h.
jsuis content!
photoshop
Cette petite pute de photoshop m'a planté dans le dos. J'avais pas enregistré...depuis combien de temps, je ne sais même plus. j'étais dessus depuis trois heures...
Aprés cinq jours de boulot brutal, le courage vient à manquer.
dimanche 11 mai 2008
samedi 10 mai 2008
La vie trépidante des intrépides canetons
J'étais parti faire une petite pause parce qu'il en faut quand même. Pas longue, juste un petit tour au Soleil.
Je m'arrête sur un pont, au dessus de l'Ill, à l'entrée de la Petite France.
C'est un endroit où l'écluse apporte une pression violente au courant, tout ça pour le bonheur des péniches. ça forme pleins de tourbillons, et donc je regardais ça pour me détendre, et les détritus qui flotte s'y rassemblent et forment une sorte de balet.
Pis là, au milieu de tout le bordel, je vois deux petits canards tout neufs qui luttent comme des bêtes, tellement qu'ils sont cons de pas se laisser emporter. Ils ont dû se faire piéger par l'écluse, paf, plus de maman.
Je les regarde un p'tit moment, puis je cours chez moi chercher mon appareil photo en espérant qu'ils y soient encore à mon retour.
Cinq minutes plus tard, c'est limite s'il fallait pas faire la queue pour le ticket et les pop corn.
Je commence à filmer, et tadadaaam, deux nouveaux héros en ville: Indianan Jean's, et Mac Gaillewersheim. Strasbourg n'a qu'à bien se tenir!
Le gens applaudissent, la population s'attendri, ma voisine et son sac Pimki n'en peuvent plus. film trop lourd, coupé en deux, à regarder sans trop de son, l'eau fait mal aux oreilles.
Je m'arrête sur un pont, au dessus de l'Ill, à l'entrée de la Petite France.
C'est un endroit où l'écluse apporte une pression violente au courant, tout ça pour le bonheur des péniches. ça forme pleins de tourbillons, et donc je regardais ça pour me détendre, et les détritus qui flotte s'y rassemblent et forment une sorte de balet.
Pis là, au milieu de tout le bordel, je vois deux petits canards tout neufs qui luttent comme des bêtes, tellement qu'ils sont cons de pas se laisser emporter. Ils ont dû se faire piéger par l'écluse, paf, plus de maman.
Je les regarde un p'tit moment, puis je cours chez moi chercher mon appareil photo en espérant qu'ils y soient encore à mon retour.
Cinq minutes plus tard, c'est limite s'il fallait pas faire la queue pour le ticket et les pop corn.
Je commence à filmer, et tadadaaam, deux nouveaux héros en ville: Indianan Jean's, et Mac Gaillewersheim. Strasbourg n'a qu'à bien se tenir!
Le gens applaudissent, la population s'attendri, ma voisine et son sac Pimki n'en peuvent plus. film trop lourd, coupé en deux, à regarder sans trop de son, l'eau fait mal aux oreilles.
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vendredi 9 mai 2008
Parce que y en a marre
P'tite pause.
Je suis parti me promener, hier soir, avec mon petit n'appareil, et j'ai pris plein de photos. Je suis retourné dans un endroit qu'on a découvert l'année dernière, avec Ber', blotti entre Strasbourg et le Rhin. Tout un complex industriel désaffecté, squatté resquatté. Il me faut une bonne demi-heure de vélo pour m'y rendre, et le chemin, à lui seul, vaut le détour. On y croise 3000 décors différents, et sous ce Soleil de faux été, c'est vraiment magnifique. L'ensemble est un peu une sorte de Disneyland glauque où il vaut mieux ne pas tomber sur mickey, surtout tout seul.
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